Makoto est une lycéenne tout ce qu'il y a de plus normal. Elle est toujours en retard pour des cours de toute façon peu intéressants, et s'interroge sur son avenir. Garçon manqué, elle passe le plus clair de son temps avec deux étudiants de la même classe. Le temps s'écoule paisiblement jusqu'au moment où Makoto découvre qu'elle peut voyager dans le temps. Seulement voilà : modifier le cours du temps peut avoir des conséquences dramatiques !
Prenez une comédie culte comme Le Jour sans Fin, adaptez la dans un univers de lycéens et ajoutez quelques ingrédients classiques de l'animation japonaise et vous obtenez La Traversée du Temps, un film très sympathique bien que souffrant parfois de quelques longueurs. A ceux qui ont lu "par l'auteur de Paprika" sur l'affiche : le film est adapté d'une nouvelle très connue au Japon de l'écrivain Yasutaka Tsutsui. Ce même auteur est également à l'origine du Paprika de Satoshi Kon. Le scénario comme la réalisation sont solides, et Mamoru Hosoda (pressenti pour Le Château Ambulant avant d'être remplacé par Miyazaki) pourrait bien à nouveau faire parler de lui !
Les rock stars de l'animation ont fait salle comble ! Je parle bien sûr des artistes de Pixar ! La séance commence avec la diffusion en avant-première mondiale du nouveau court métrage du studio : Lifted. Ce film nous explique que même les extra-terrestres ont des examens à passer, et les travaux pratiques du jeune héros aliéné ne se déroulent pas exactement comme prévu. On le comprend ! Gary Rydstrom nous explique ensuite son parcours depuis ingénieur du son à réalisateur, sa vraie vocation depuis le départ. Il nous livre également les clés de son court-métrages : objets cachés et références obscures sont légion, mais la volonté de rendre hommage au cinéma muet et aux vieux cartoons fait honneur à notre invité de marque. Nous avons même droit à un second visionnage !
La réalisatrice Leslie Iwerks monte sur scène et nous présente brièvement le documentaire Pixar Story. John Lasseter et Steve Jobs sont présentés comme des visionnaires, et l'accent est vraiment mis sur les débuts difficiles de l'aventure au début des années 80 -- tout accélère lorsque Toy Story sort en 1995 (et oui, déjà 12 ans !). Selon le documentaire, l'ambiance de travail est unique au monde : détendue, amicale et jamais conflictuelle. Quand même, comme le dit Serge, on demande à voir !
(en cours)
1 De etbougekobe -
Une petite parenthèse pour évoquer les CM5 !
C'est ce qui s'appelle couper l'herbe sous le pied.
La sélection commence très fort avec Raymond. Il s'agit d'une espèce d'expérience scientifique qui aide Raymond, maître-nageur, à découvrir les océans. On est partagé entre le rire et la gravité. Le rire quand une goutte sur la tête provoque des mouvements chez Raymond, comme une poupée désarticulée, la gravité pour toute la symbolique des éléments.
Ensuite, c'est un sur deux !
The pearce sisters m'a beaucoup emballée. Dans un décor de bord de mer rude (genre plages du débarquement en hiver avec des débris), deux soeurs pêchent et fument les poissons. Plutôt isolées, elles font de même avec les rares hommes échoués. Très bon.
Même en rêve est mignon, mais j'attend la suite.
Canary beat est efficace. Un canari dans sa cage joue les human beat box avec son reflet dans le miroir. Coincé entre une histoire d'une femme qui trompe son mari et une histoire de soleil et de pluie, ça réjouit.
Vient ensuite premier voyage. Un jeune papa prend pour la première fois avec sa fille le train. La signature en toute fin "pour Chloé" nous conforte dans l'idée "ça sent le vécu". Au-delà de l'histoire terriblement drôle, l'animation est réussie. Le train tout en noir et blanc, très graphique, devient coloré une fois maman retrouvée (quel soulagement !).
Une sieste pour Astons stenar.
Le prochain, encore un allemand que je vais adorer, ne semble pas emporter l'unanimité autour de moi (et ma voisine, particulièrement, qui se reconnaîtra). Bildfenster/fensterbilder, Que je lui traduis en "images en fenêtres, fenêtre en images"... en réalité traduit "recadrage", m'a vraiment enthousiasmée ! C'es très poétique. Des fenêtres dans une grande ville succèdent à des images de pellicules. A chaque fois des ouvertures. Des ouvertures plutôt profondes car nous avons également dans ces fenêtres des images de mains (des mains qui travaillent, des mains qui attendent). Tout cela fleure bon la fenêtre ouverte sur l'âme. Et n'oublions pas la formidouble musique : Schubert. J'étais plutôt fière de moi, j'avais reconnu le morceau...
La fin de ce programme est tout aussi réussi.
Maraton.
Un préjugé, d'abord : estonien, 14 minutes. Bon. Mais tout de suite emportée par une histoire folle de mec qui pose une bombe, d'une sculptrice un peu nerveuse, d'une dame pipi qui n'oublie pas de tirer la chasse et d'une femme amoureuse du joueur de trombone. Comme vous, toutes les allusions sexuelles ne m'ont pas échappées. Je dis "comme vous" histoire de me rassurer.... La paille dans le gobelet, la trombone à coulisse, la paille dans la bouche et le comble : le fameux train dans le tunnel !
Cold calling nous parle d'une vengeance. Mais d'une douce vengeance envers les télévendeurs et téléprospecteurs. Ca nous donne des idées pour les prochains appels.
Même les pigeons vont au paradis. J'attends avec impatience ce court, car le titre m'insipre, et je m'attends à voir des pigeons. Raté ! On voit surtout un vieux qui se fait pigeonner par le prêtre qui tente de lui vendre une place au paradis; Mais le pigeon n'est pas toujours celui qu'on croit ! Très joli court et un brin franchouillard, on a la petite larme à l'oeil !
Je pourrais raconter plus tard le Spike & Mike's sick and twisted festival of animation ainsi que la cérémonie de clôture. A vos claviers !!
Elo
2 De vy -
La traversée du temps... le reve ! pouvoir changer ce que l'on a vecu pour rendre notre vie meilleure ou simplement profiter de la vie en dormant autant de temps que l'on veux sans jamais etre en retard, refaire ses examens et passé pour le genie de la classe, ou encore pouvoir faire 10 heures de karaoké d'affilées ...
Le voyage dans le temps, le "saut" est un sujet bateau traité tres souvent. Cependant, que se passe t'il quand deux personnes qui "sautent" dans le temps se rencontre et tombent amoureux? Deux époques, un garcon du futur, un amour impossible!? ou une belle histoire qui debute malgré l'adversité! a nous d'extrapoler !
A cela rajouter que finalement les voyages ne sont pas infinis mais limités. Comment choisir ainsi les moments qui valent le coup d'etre revecus ou evités... Si les choses arrivent ce n'est peut etre pas par hasard?... il faut peut etre que l'on affronte les choses tels qu'elles sont sans vouloir tout controler ! (moral de l'histoire, enfin selon moi ! )
Quelques incomprehensions tout de meme, car qd on joue avec le temps, les choses deviennent compliquées et difficile a suivre (heu, j'espere que je ne suis pas la seule a n'avoir pas saisie toutes les subtilitées)... J'aurai bien voulu parler japonais pour en parler directement au papa du film qui buvait tranquillement son badoit au bd fugue juste a coté de notre table...
Et la BO, oui je sais, je dis toujours pareil, mais elle est vraiment bien!!!!
Oui, je confirme Cebe, apres un peu de recul, c'est vraiment un film de fille !
3 De etbougekobe -
Comme c'est vendredi, j'ai voulu en voir un maximum. Alors nous avons fait avec Vy les courts métrage panoramique 4 et les films de télé 3. A la suite.
Ca va être rapide, puisque j'ai beaucoup dormi pendant les courts. Les premiers ont réussi à me tenir éveillée puis plus rien.
Drawing the line est très flippant. Dans un appartement froid, un homme à l'expression neutre se met à dessiner des lignes rouges pour limiter les choses. Au début, je le prends comme un TOC (une ligne qui détermine le niveau de l'eau dans une baignoire, marcher sur une ligne..) puis cela tourne à la véritable obsession. Ce personnage se met à diviser les choses. Le rouge n'est pas seulement rouge, il devient rouge sang.
Elu maitse. Ce court est étrange. Le dessin ne m'emballe pas beaucoup, mais l'histoire est intéressante. Au-delà de l'anecdote du type qui masse avec de l'huile d'olive, ce sont des histoires d'amour et de nourriture. J'aime donc je mange, je mange donc j'aime... Je t'aime donc je te mange, je te mange donc je t'aime.
Le suivant m'a peu plu, Islwyn Ogwyn. Un homme possède un chien et une voiture (comme dirait l'autre : une vache, une voiture, une patate). Ils semblent avoir chacun la taille proportionnelle à l'amour que peut porter cet homme envers eux : un gros chien, une immense voiture. La voiture passe avant le chien. Le chien, somnambule à ses heures, montre sa jalousie la nuit. Bof... Et là, c'est dans les bras de Morphée que je continue......
Films de télé 3.
Un peu plus réveillée, je regarde le mignon Samsam jouer les petites souris avec les dents de lait déposées sous l'oreiller. On a eu chaud, le méchant méchant a failli rafler tout le butin !
Le suivant est très gnan gnan est c'est ça qui est drôle. Attention, il ne faut pas jouer avec les allumettes. Y por qué ? Et là le chat se brûle les poils. Attention, il ne faut pas jouer avec l'électricité. Y por qué ? Et là, le chat se prend une châtaigne. Ce que j'ai préféré, c'est l'air ahuri des deux enfants quand ils disent "Y por qué ?".
L'apprenti père noël est un peu long. Le petit Nicolas (comme par hasard !) cherche à percer le mystère : comment le père noël fait-il pour livrer en une seule nuit tous les cadeaux ?
Je dors un peu.
Charlie et Lola me réveille, car j'avais adoré l'épisode du manteau blanc et doux. Mais je me suis endormie avant la fin. Les histoires de Noël , ça me gonfle un peu. Bye bye Penelope, Bye-bye Zoé Kezako (en plus elle passe à la télé...) et bye bye le reste de la séance.
Mais non !
Heuresement, il y a Mondokak ! Une suite de petites fables incompréhensibles et sans sens (même les sous-titres le disent !). La petite salle entière se réveille.
Et on termine avec une jolie chanson "Meine Oma fährt im Hühnerstall Motorrad.. motorrad... motorrad......". Ambiance karaoké !
Elo
4 De vy -
CM5
Bon je vais pas trop m'eterniser, Elo est deja passée par là!
Une des meilleures serie de court (avec la numero 1) difficile de choisir le meilleur pour voter pour le prix du public !
Raymond, moi je suis restée tres premier degres.. sans voir la symbolique de la manipulation, mais c'est vrai qu'en reflechissant bien....
The pearce Sisters... etrange mais j'ai bien aimé ( je pense que je vais repeter cela souvent pour cette serie de court) mais bon ne gachons pas notre plaisir! Les hommes reduits a des jouets " fumés" c'est une idée :-)
Meme en reve. Comment l'inconscient nous trahie !
Canary Beat : heu... sympa cette petite bete et en plus elle ne meurt pas (cela se faisait rare ces temps-ci dans les films !)
Come Rain or Shine... là j'ai un trou, marchand de sable quand tu nous tiens.
Premier voyage : mon favori, enfin l'un d'eux. Dur la vie quand on pense a tout mais que l'on oublie la petite cuilliere ;-) Attendrissant ce papa qui veut tout bien pour le mieux !
Astons Stenar... on dira mignon
Bidfenster - fensterbilder : euh alors la j'ai pas accrocher du tout
Marathon : finalement les 14 minutes ne m'ont pas semblées si longues
Cold Calling... alors là j'adore, bien qu'il faut avoir pitié de ses pauvres personnes qui vivent en appelant les gens...
Meme les pigeons vont au paradis ;-) acheve la seance par une jolie note de gaité et d'humour
5 De TomBo -
J'ai bien aimé La Traversée du Temps, mais pas au point d'en faire un de mes favoris. Je m'attendais sans doute à une fin un peu plus dramatique, que ce soit en bien ou en mal pour les héros d'ailleurs ...
6 De pépita -
Génial! J'ai des trucs a dire qui ont pas deja été dits!
Bon, pour moi aussi, les CM5 ont été la meilleure serie. Mais bon, en meme temps, comme j'ai vu que les CM4 par ailleurs (je crois) et en arrivant le jeudi soir, j'ai pas vraiment de references.
En plus j'ai assisté à Pixar Story et c'était drolement interessant, et c'est pas juste parce que le monsieur qui presentait a dit que c'etait une avant avant-premiere mondiale parce que le public d'annecy etait le meilleur du monde, non non.
Bon, sans rire, j'ai adoré Lifted, avec son jeune alien pas gaté par la nature qui passe son "permis d'enlever des terriens". Une première diffusion, comme ca, à froid, puis une serie d'explications sur les petits secrets de fabrique, avec diapos a l'appui :gary ridstrom, quand il avait 16 ans. d'autres adolescents maltraites par la puberté. ses profs, qu'il detestait. son chien, qui double l'ado-alien. la recherche texturale ou ils ont l'air de bien se marrer avec leurs tests sur des gelees vertes. les petits secrets caches que seul un oeil attentif peut remarquer. Tout ca suivi d'une seconde diffusion dont le public ressort encore plus enthousiaste au vu des revelations precedentes. Ca dure pas longtemps, Lifted, mais c'est vachement efficace. Y'en a qui ont du vivre la meme chose, quand ils ont passé leur permis de conduire.
Le documentaire Pixar, lui, est un peu plus long, et là j'ai eu beau faire des efforts, j'ai un peu décroché. Sans trop plonger dans un sommeil profond, alors ca m'a laissé une impression, un peu comme quand on a bu et qu'on croit comprendre le russe. J'ai l'impression d'avoir suivi, mais je suis pas sure de pouvoir raconter ce qui s'est dit. J'ai le souvenir d'un fronton avec sept nains au lieu des sept muses, et d'une usine à dessins animes pixar ou tout le monde se deplace en trottinette en rigolant et en se tapant dans le dos. Tout le monde il est heureux de travailler chez Pixar, si c'est pas trooop beau. D'ailleurs, y'a quelqu'un dans le public qui a demandé s'ils n'avaient pas envie d'ouvrir une succursale en France. Mais apparement, c'est pas au programme.
Bon, ben j'attends que Cebe nous raconte sa version, ca me rappelera surement quelque chose.
Ah ouais et puis sinon, moi, la traversée du Temps ca m'a bien plu, mais pas sure que ca resiste a un examen attentif des evenements. Mais c'était bien, meme l'heroine elle s'embrouillait a force. Moi j'aime bien les films de filles. Et puis avoir Mamoru à deux metres de là, ca c'est genial. Y'a que à Annecy que ca peut arriver.
7 De vy79 -
Animation et désir
- séance de 23h, petite salle, tous les soirs –
Voilà, cela fait déjà qq. jours que je me dis qu’il faut faire un billet sur Animation et Désir.
Me voilà alors replongée dans « l’Officiel »pour me rafraichir la mémoire, le festival paraît déjà loin et pourtant ce n’était que la semaine dernière.
Une impression dans sa globalité sur ces courts métrages, les commenter un par un n'aurait pas de sens, je prefere traité le sujet dans son ensemble.
Je me suis retrouvée quasiment tjs seule, pour chacune de ses séances tardives de 23 h, personne n’était adepte ou curieux, sauf pour la première soirée où qq'un s'est décidé. Le courageux se nomme Yoann, venu une fois, je ne l’ai plus jamais revu les séances suivantes…
Pas assez croustillant pour lui peut être ? car avec l'interdit au moins de 15 ans, on aurait pu penser que débauche et sexualité en tout genre seraient au rendez-vous !
Mais il ne faut pas si m’éprendre, qq. courts métrages montrent effectivement du sexe brute (assez rare), la plupart du temps les choses sont sous-entendues, exprimées de manière détournée. Le désir est traité par le désir charnel, mais également par le désir fantasmagorique, par l’humour, la métaphore ou tout simplement par l’absence de désir...
-Le désir et l’humour :-
"Oh Julie"
Deux personnes, sans doute venant de se rencontrer dans un bar, déjà marquées par le temps, nous apparaissent.
Une femme que l’on peu facilement qualifiée de vulgaire, porte une perruque, des pinces sur tout le corps (devant emprisonner les bourlets autant faciaux que corporels et retendre la peau), une fausse poitrine, des lèvres amovibles pour chaque acte sexuel (je vous passe les détails)
Un homme qui a déjà bien vécu, aux poils de torses artificiels, un sexe amovible (version couché debout), gadget assez impressionnant, puisque clignotant d’un rouge éclatant dans la nuit… Ce couple pathétique, tentant de cacher à l’autre le poids des années, prend grâce à nos eux. (Reflet de l’avenir ?)
Encore plus attendrissant, quand au petit matin, ils finissent par se réveiller tels qu’ils sont, sans artifice, et s’aimer tout de même….
Plein d’amour et de sincérité.
"Pene"
Une succession de scènes assez particulières, des moments de vie de couples s’enchaînent : grands gras, minces, musclés, des penis longs, cours, multiples… adaptés aux attributs leurs partenaires féminines : vagins grands, petits, multiples, sur le ventre…. Intéressant, très spécial, mais les 10 min m’ont tout de même paru sans fin.
-Le désir subtil :-
"Triangle"
Le trait de crayon est aussi subjectif, très délicat, rendant le désir, l’union des corps simple et tendre. Au placard la bestialité, nous sommes sous le signe du subtil, du joli…
"Secret joy of falling angels"
Ici, la subtilité est à son maximum, à tel point que je n’ai rien compris… mais en tout cas cela reste un souvenir marquant par son incompréhension…. des traits, des lignes….
-Le désir et réalité-
"Never like the firt time / aldrig som forta gângen "
L’amour la première fois, tel qu’il peut être : tendre et doux, expérimental ou encore violent.
"Az na Veky ?" (j’hésite avec "Milch", pas de photo sur l’officiel)
Le désir à travers le temps, sa dégradation dans le couple pour en arriver à son absence totale et à l’ignorance de son partenaire.
"Gui 101"
Le désir par le biais d’internet et ses dangers….
Tous les désirs, ainsi, au fil des courts métrages, trouvent leur place : sexuel, autant hétérosexuel qu’homosexuel "Erè mela mèla", animal, fantastique : "La lune et un chat".
Ainsi, Animation et désir porte bien son nom, on parle de désir en premier lieu, l’acte physique, bien que présent, est une finalité pas forcement inéluctable, elle reste l’illustration du désir sans en être pour autant l’acteur principal.
La subjectivité est présente à tout les niveaux : fantasmes, attirance, réalité, songes.. On ne sais plus trop ou l’on se situe, mais cela ne nous laisse pas indifférents.
8 De etbougekobe -
Animation et désir, totalement d'actualité, car les petits bacheliers cette année ont dû gribouiller sur :
"le désir peut-il se satisfaire de la réalité ?"
Elo